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Les Laboratoires INNOTHERA présentent la compression médicale transparente pour des jambes légères toute l’année !

Douleurs, jambes lourdes et gonflées peuvent se faire ressentir tout au long de l’année et surtout à l’approche de la saison estivale. La compression médicale apporte une solution naturelle aux pathologies veineuses pour soulager les jambes souffrant d’inconfort(1). Dans ces situations, une observance toute l’année est la clé pour éviter les risques de complications de la maladie veineuse, qui touche de plus en plus de personnes(2).
Or, 1 femme sur 2 abandonne son traitement thérapeutique en saison estivale(3), même si 73% des patientes voient leurs symptômes aggravés par la chaleur(4). Les raisons : inconfort et inadaptation du produit à leur style vestimentaire en cette période(5).
Pour favoriser l’observance et que les femmes puissent s’habiller comme elles le souhaitent aux beaux jours, sans contraintes, Les Laboratoires Innothera ont développé deux gammes de compression médicale labellisées “Origine France Garantie” avec une maille solide(6)(7)(8) ”effet peau nue”(9)(10).
Les gammes Smartleg® Transparent et Varisma® Nuances offrent des modèles pour toutes les morphologies (11)(12), des modèles qui s’intègrent parfaitement à tous les styles de vie. Chaque femme a le choix du format et du coloris “effet peau nue” qui lui correspond le mieux. En plus, ces produits ne tiennent pas chaud(13) !
(1) Weiss, and Duffy. Clinical benefits of lightweight compression: reduction of venous-related symptoms by ready-to-wear lightweight gradient compression hosiery. Der- matol Surg. 1999 Sep;25(9):701-4.
(2) Raju et al. (2007). Use of compression stockings in chronic venous disease: patient compliance and efficacy. Annals of vascular surgery, 21(6), 790-795.
(3) “La contention d’été idéale » - 1999 (étude ID Recherche Marketing)
(4) Carpentier & al. Ascribing leg symptoms to chronic venous disorders: The construction of a diagnostic score. J Vasc Surg 2007;46:991-996
(5) Benigni J.-P., Rastel D 2014, - Observance du port des bas de compression médicale - 67, 2, p 58- 63)
(6) AP_2019_122 - Synthèse Résistance à la perforation Varisma®Nuances
(7) AP_2019_122 - Résistance à l’usure de Varisma® Nuances vs Concurrents
(8) AP_2018_122 - Résistance à la perforation Smartleg® Transparent vs concurrents
(9) AP_2019_122 - Transparence Varisma® Nuances
(10) AP_2018_122 - Synthèse Transparence Smartleg® Transparent vs conc
(11) ET_2016_47 TCV CLF_AT : calcul du taux de couverture de la grille de taillage Smartleg®.
(12) ET_2018_094 - TCV Varisma® Nuances
(13) ES_2018_011 - Evaluation du confort thermique Smartleg® Transparent
Chaque année en France, près de 80 000 nouveaux cas de cancers cutanés sont diagnostiqués. Parmi eux, 11 000 relèvent de la catégorie des mélanomes, la forme la plus agressive des cancers de la peau. Laquelle est à l’origine de 1 500 décès chaque année.
Il n’existe pas « un » mais « des » cancers de la peau. Leur nombre a plus que triplé entre 1980 et 2018. Cette évolution est très certainement due à l’engouement suscité par l’exposition au soleil. En effet, les rayonnements UV sont un facteur de risque avéré de survenue des cancers de la peau. Il en existe deux types : les carcinomes cutanés, les plus fréquents, sont facilement guérissables. Plus rares, les mélanomes sont beaucoup plus agressifs.
Les carcinomes, qu’est-ce que c’est ?
Se développant à partir de la partie la plus superficielle de la peau, les carcinomes cutanés représentent 90% des cancers de la peau. Avec plus de 65 000 nouveaux cas par an en France, ils figurent parmi les cancers les plus fréquents… Mais aussi parmi les moins méchants, notamment pour les plus communs d’entre eux : les carcinomes basocellulaires pour lesquels il n’y a pas de métastases. L’autre forme, les carcinomes épidermoïdes peuvent, s’ils ne sont pas traités à temps, entraîner des conséquences sérieuses tel que le développement de métastases.
Les mélanomes, qu’est-ce que c’est ?
Ce sont les cancers de la peau les plus graves. Le mélanome est nommé ainsi car il affecte les mélanocytes, situés dans la couche profonde de l’épiderme. Ces cellules produisent la mélanine, ce pigment qui colore la peau et la protège - partiellement - des rayons ultraviolets (UV). Le facteur de risque principal reste l'exposition solaire, en particulier les graves coups de soleil lors de l'enfance et de l'adolescence.
Des facteurs de risque bien identifiés
Certaines caractéristiques individuelles augmentent le risque de survenue de cancers cutanés. Toutefois, la plupart d’entre eux sont évitables : deux tiers des cancers de la peau sont ainsi imputables à une exposition au soleil trop importante.
Les méfaits des ultraviolets
Il existe 2 types d’UV : les UVA et les UVB. Les premiers pénètrent dans les couches profondes de la peau où ils ont un effet sur le tissu conjonctif et les vaisseaux sanguins. Une exposition importante aux UVA provoque ainsi un vieillissement prématuré de la peau.
Les seconds, eux, sont ceux qui provoquent les coups de soleil. Ils sont 1 000 fois plus puissants que les rayons UVA. Lorsque la peau est exposée aux UVB, elle met en marche un mécanisme de défense. C’est le bronzage. Mais lorsque cette agression solaire dépasse un certain seuil, une réaction inflammatoire s’enclenche, détruisant des milliers de cellules de l’épiderme, occasionnant une brûlure.
Ainsi, les UVA et les UVB, en atteignant la peau, agressent les cellules cutanées et peuvent provoquer des lésions de l’ADN et entraîner l’apparition de cellules cancéreuses.
Les bancs solaires, pas inoffensifs !
Le bronzage artificiel n’est pas bon pour la santé. A tel point que les rayonnements UV artificiels sont classés cancérogènes certains pour l’être humain par le Centre international de recherche sur le cancer (Circ) depuis 2009. La raison ? « Les cabines de bronzage émettent des rayonnements à forte intensité, équivalant à l’exposition à un soleil tropical. Ces doses reçues lors des séances de bronzage artificiel se cumulent à celles reçues naturellement. Elles provoquent des dommages de l’ADN et augmentent le risque de cancers cutanés », explique l’Anses. En France, les bancs solaires sont d’ailleurs interdits aux moins de 18 ans. Et certains pays, comme l'Australie, ont déjà interdit l'usage des cabines à UV.
Les facteurs de risque individuels
Si le rayonnement UV est pourvoyeur de 80% des cas de cancer, d’autres éléments peuvent favoriser la survenue d’un carcinome ou d’un mélanome.
Le phototype
Nous ne sommes pas tous égaux face au risque de cancer. Ainsi le type de peau – ou phototype – est un élément de première importance. Les personnes qui ont une peau claire propice aux coups de soleil, des taches de rousseur, des yeux clairs et des cheveux blonds ou roux ont un risque plus important de développer un mélanome ou un carcinome. Cela étant, quel que soit le phototype, il est indispensable de se protéger des UV.
Le nombre de grains de beauté
Plus le nombre de nævi est important (lorsqu’il existe plus de 50 grains de beauté), plus le risque de cancer de la peau est élevé. Il est alors multiplié par 4. De plus, si ces grains de beauté mesurent plus de 5 mm, le risque augmente également.
Les antécédents familiaux
Si un parent du premier degré (père, mère, frère ou sœur) a eu un mélanome, le risque d’en développer un soi-même est multiplié par 2 ou 3. Il est donc important que chaque membre de la famille touché par le mélanome se fasse surveiller régulièrement par un dermatologue.
Conseils :
Surveillez particulièrement votre peau si :
- Vous avez la peau claire, les cheveux blonds ou roux et vous bronzez difficilement ;
- Vous avez de nombreuses taches de rousseur ;
- Vous avez de nombreux grains de beauté (+ de 50) ;
- Vous avez des grains de beauté larges (+ de 5 mm) et irréguliers ;
- Vous avez ou des membres de votre famille ont déjà eu un mélanome ;
- Vous avez reçu des coups de soleil sévères pendant l’enfance ou l’adolescence ;
Votre mode de vie (profession ou activité de loisir) donne lieu à des expositions solaires intenses et répétées
L’intérêt du dépistage
Les cancers de la peau ne peuvent pas être « dépistés » au sens strict, puisqu'on ne peut pas les identifier avant l'apparition de symptômes. Mais il est possible de les détecter au plus tôt en procédant à des examens réguliers de la peau. Car détectés à temps, à un stade peu développé, les cancers de la peau peuvent être guéris la plupart du temps.
La détection précoce des carcinomes cutanés
Ils apparaissent le plus souvent après 50 ans, habituellement sur les parties découvertes du corps (visage, épaules, avant-bras, mains…). Le plus souvent, ils prennent l’aspect d’une plaie qui ne cicatrise pas ou d’un bouton ou d’une croûte qui persiste et se modifie. De tels signes doivent vous conduire à adresser votre patient à un dermatologue.
La détection précoce des mélanomes
Sous certaines conditions, un grain de beauté peut donner naissance à un mélanome. Il est donc important d’observer régulièrement sa peau. Pour repérer facilement tout changement d’aspect d’un grain de beauté, il existe une règle simple, la règle ABCDE :
- A pour « Asymétrie » : la moitié du grain de beauté ne ressemble pas à l’autre moitié ;
- B pour « Bords irréguliers » : les bords sont mal délimités, dentelés, échancrés, flous ;
- C pour « Couleur inhomogène » : la couleur varie d’une zone à l’autre de la lésion ;
- D pour « Diamètre » : il est souvent supérieur à 6 mm ;
- E pour « Évolution » : l’aspect du grain de beauté a changé, qu’il s’agisse de sa taille, de sa forme ou de sa couleur.
Cancer de la peau : comment le prévenir ?
Soleil, mode d’emploi : les gestes à rappeler au grand public
Quel que soit le type de peau, plusieurs précautions sont à prendre pour réduire la pénétration des rayons UV dans la peau :
- Ne pas s'exposer ou rechercher l'ombre au maximum : c'est le meilleur moyen de se protéger.
- En été, éviter impérativement le soleil durant les heures où les rayons solaires sont les plus intenses : à savoir entre 12h et 16h.
- Après l'ombre, les vêtements sont la protection qui stoppe le mieux les UV. Portez des vêtements longs et amples, un chapeau à bords larges, une paire de lunettes de soleil avec filtre anti-UV (norme CE, catégorie 3 ou 4) et montures enveloppantes.
- On n’oublie pas la crème solaire. Idéalement indice 50 anti-UVB et anti-UVA : toutes les 2h et après la baignade.
Conseils :
- Faire la peau aux idées reçues
Même si les risques sont de plus en plus connus par le grand public, certaines fausses idées continuent de circuler largement :
- Sous le parasol, je suis protégé à 100% des UV
Faux. En fait, tous les parasols ne se valent pas. Si aujourd’hui, certaines toiles sont « anti-UV », la plupart laissent passer une partie du rayonnement solaire. En clair, à la plage, le parasol c’est utile mais ça ne protège pas intégralement.
- Une fois bronzé, je peux arrêter de me protéger
Faux. Même s’il est toujours agréable d’avoir le teint hâlé, le bronzage est une réaction de défense de la peau face aux agressions du soleil. Le bronzage ne dispense donc pas d’une application de protection solaire.
- Autobronzants et compléments alimentaires préparent ma peau aux UV
Faux. Il est impossible de préparer son épiderme à l’exposition au soleil, tant pour booster le bronzage que pour diminuer le risque de coup de soleil. Les compléments alimentaires et les autobronzants n'apportent aucune protection. Ils donnent simplement un teint hâlé.
- Si le ciel est nuageux, je n’ai pas besoin de me protéger
Faux. Même par temps couvert, plus de 80 % des rayons UV percent la couche nuageuse. Il est ainsi primordial de se protéger au moyen de lunettes de soleil, crème solaire et chapeau.
Les vacances sont souvent l’occasion de se mettre à bricoler à la maison. Cette activité très valorisante n’est toutefois pas sans danger. Pour éviter de finir aux urgences avec une brûlure ou une intoxication, suivez ces conseils de bon sens.
Chutes, électrocutions, brûlures ou encore coupures… « Chaque année, près de 300 000 personnes terminent aux urgences en raison d’un accident de bricolage », renseigne le ministère de la Santé. Pour éviter de gâcher ainsi vos congés, respectez quelques règles simples de prévention.
Avant de vous lancer
Quel que soit votre projet – peinture, ponçage… – achetez uniquement la quantité nécessaire de produits dangereux pour éviter de les stocker. Choisissez des outils et des accessoires adaptés et entretenez-les. Lisez les étiquettes et le mode d’emploi des machines et des outils avant de les utiliser. N’hésitez pas à demander conseil à des vendeurs dans un magasin spécialisé.
Le matériel n’est pas le seul à devoir être adapté : assurez-vous que vous êtes en forme et apte à bricoler. Pour cela, il va sans dire qu’il ne vaut mieux pas consommer d’alcool avant de bricoler. Et pour garder vos mains en bon état, ôtez vos bagues, vos bracelets et votre montre. Vérifiez que vos rappels du vaccin anti-tétanique sont à jour.
Protégez-vous
Pensez à porter des dispositifs de protection, en fonction de votre projet. Par exemple, mettez un masque de protection si vous utilisez des produits chimiques, si vous manipulez des laines minérales ou s’il se dégage des poussières lors de sciage, rabotage, ponçage… Pensez aussi aux gants qui vous protégeront des produits chimiques et vous éviteront coupures et brûlures. Vous pouvez aussi utiliser des lunettes de protection contre les poussières et des protections auditives lorsque vous utilisez des appareils bruyants.
Autre conseil d’importance : ne dépassez pas la dose de produit nécessaire et ne mélangez pas les produits entre eux. Sans oublier de couper l’électricité quand vous travaillez sur les circuits électriques.
Comme beaucoup de produits émettent des vapeurs, travaillez dehors quand cela est possible ou aérez au maximum. Et refermez-les pour qu’ils ne s’évaporent pas. En outre, pour mieux voir ce que vous faites et éviter de vous blesser, travaillez dans un endroit dégagé et éclairé. Assurez-vous de la stabilité des escabeaux, des échelles et des échafaudages. Enfin, ne désactivez jamais les dispositifs de sécurité des machines.
Une fois que vous avez terminé
Rangez toujours vos outils et vos produits hors de portée des enfants, et ce, immédiatement après votre séance de bricolage. « Conservez les produits dans leur emballage d’origine et ne les transvasez jamais dans un autre récipient, surtout alimentaire », insiste le ministère de la santé.
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